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Jean-Baptiste Andrea

  • Cent millions d'années et un jour

    Cent millions d'années et un jourAuteur : Jean-Baptiste Andrea

    Genre : Contemporain

    Résumé : « Cette fois, pas besoin de traduction pour comprendre la loi de la montagne. Les seuls monstres, là-haut, sont ceux que tu emmènes avec toi. » Alpes, août 1954. Stan mène une carrière de paléontologue sans éclat. Il ne lui reste qu’une chance de connaître la gloire : découvrir un squelette de dinosaure qu’on dit préservé par la glace depuis des millénaires. Stan imagine alors une folle expédition et entraîne avec lui un vieux guide italien et les scientifiques Umberto et Peter. Mais l’ascension du glacier est périlleuse, surtout pour ces hommes inexpérimentés. Tandis que le froid, l’altitude, la solitude se referment sur eux, leurs fragilités affleurent, les vieilles blessures se rouvrent. L’amitié qui les lie leur permettra-t-elle de réaliser ce rêve d’enfant ? 

    Avis : Découvert ce livre pour la rentrée littéraire en poche, je me suis plongée dedans avec curiosité. Et fut surppris par le style de narration de l'auteur qui est me fait pensée à Marcel Pagnol, mais sans les émotions. Par contre, je trouve qu'il décrit bien la montagne, comme un lieux dangereux -Spoiler ➡️ "Ici, la pierre est plus dangereuse que les loups." page 79 - et non majestueuse comme beaucoup le fond. Ce qui est rafraichissant. L'idée générale du roman me fait penser au livre de Jules Vernes, "Voyages au centre de la terre" par son coté scientifique qui entraine les personnages dans un voyages, mais aussi par certain trait des personnages. J'ignore si ces auteurs ou livre l'ont inspiré, mais on ressent une certaine influence. On découvre que l'écrivain à fait des recherches sur l'archéologie, les dinosaures... avant d'employer les termes associer à ce domaine, et je trouve cela très bien.

    Un ou deux détail qui m'ont dérangé aussi, ce sont les passages d'une scène à une autre sans transition n'y rien dans un chapitre. Ou encore une petite ellipse d'un coup, qui surprend et qui casse grandement la lecture. Spoiler ➡️ Elle se retrouve au début. Stan va expliquer la raison de cette expédition aux deux autres personnages, mais la phrase s'arrete avec des points de suspensions. Et paragraphe suivant, il est tout seul, couché sur le lit entrain de penser à une mouche. C'est une dizaine de lignes après environ, qu'on comprend qu'il est partis s'isoler sans donner la réponse. Ce qui perturbe la lecture et je n'en vois pas l'intéret de cette ellipse personnellement. Autre point déranger, c'est la traduction absente de certain mots italiens. Ou encore les phrases en italien où la traduction est la phrase d'après ou encore deux phrases plus long. Une note en bas de pages pour la traduction aurait été plus agréable à la lecture. 

    Maë